Patricia Rodríguez et le Parti national : du syndicat au Parlement
Patricia Rodríguez, ancienne dirigeante du syndicat de police, est entrée au Parlement en tant que députée suppléante du Parti national et, dans son nouveau rôle, a une fois de plus remis en question l'orientation du secteur de la sécurité.
Répercussions pour les policiers handicapés selon Patricia Rodríguez
L'arrivée de Rodríguez sur la scène législative ouvre un nouveau chapitre pour une dirigeante qui a quitté son poste au sein de l'organisation syndicale pour se lancer dans la politique partisane. Sa transition du militantisme syndical au caucus du Parti blanc a été suivie de près par les acteurs du secteur de la sécurité .
Syndicat de police : plainte pour promesses non tenues
Lors de ses premières interventions publiques depuis la présidence, Rodríguez a critiqué le budget débattu par l'exécutif, estimant qu'il ne respectait pas les promesses faites à l'administration et a appelé à des actions concrètes pour inverser la situation . Ses propos ont porté sur le manque de mise en œuvre des accords signés lors des précédentes campagnes, a-t-il souligné.
Ministère de l'Intérieur : controverses budgétaires et de gestion
La législatrice s'est concentrée sur des postes qui, selon elle, ne répondent pas aux besoins opérationnels ni au maintien des effectifs. Selon elle, l'allocation budgétaire pourrait creuser les lacunes des services essentiels du ministère de l'Intérieur et des politiques de soutien au personnel.
Policiers handicapés : priorité et risque professionnel
Rodríguez a également mis en garde contre l'impact de certains changements de personnel : il a souligné que les fonctionnaires handicapés, même légers, pourraient être exclus si l'on privilégie le recrutement de personnel civil pour des tâches administratives. Il a proposé que ces tâches soient réaffectées à des personnes handicapées, garantissant ainsi leur maintien dans l'emploi .
Demandes formelles de Patricia Rodríguez et contrôle parlementaire
Parmi les mesures réclamées figuraient des demandes de rapports et de propositions visant à prioriser la relocalisation du personnel ayant des besoins spécifiques, ainsi qu'une révision des critères d'embauche afin d'éviter les travailleurs non protégés. Rodríguez a insisté sur le fait que la discussion budgétaire devait intégrer à l'emploi et à la santé au travail.
Contexte et prochaines étapes
Alors que le débat se poursuit à la Chambre et dans les couloirs du ministère, l'intervention de Rodríguez anticipe de nouvelles demandes officielles et un contrôle parlementaire sur la répartition du budget de sécurité et des ressources humaines. L'essentiel, selon le remplaçant, sera d'éviter que des décisions administratives à court terme n'entraînent des pertes d'emplois parmi les personnes ayant de l'ancienneté.