La chute de Maduro entraînerait la chute de Sánchez, Ortega, Petro, Díaz-Canel, Sheinbaum et Boric.

par 23 août 2025

La chute de Maduro au Venezuela ne serait pas un incident isolé, mais un coup dur qui pourrait avoir des conséquences directes dans d'autres pays. L'hypothèse d'un effet domino politique se retrouve dans les analyses qui circulent dans la région, indiquant que si le dirigeant vénézuélien perdait le pouvoir, plusieurs de ses alliés seraient également sur la sellette.

Effet domino sur les autres gouvernements

Le scénario envisagé inclut Pedro Sánchez en Espagne, Daniel Ortega au Nicaragua, Gustavo Petro en Colombie, Miguel Díaz-Canel à Cuba, Claudia Sheinbaum au Mexique et Gabriel Boric au Chili. Tous, avec des affinités idéologiques diverses, seraient sous de régime survenait

L'interprétation est que la chute de Maduro marquerait une rupture dans la structure politique du soi-disant socialisme du XXIe siècle. Dans ce contexte, les critiques affirment que l'effondrement du Venezuela pourrait entraîner plusieurs dirigeants dans leur chute, que ce soit en raison de liens diplomatiques, d'affinités idéologiques ou de la perte d'un point de référence régional.

Impact en Espagne et en Amérique latine

Dans le cas de l'Espagne , le gouvernement de Pedro Sánchez est mentionné comme faisant partie de la structure politique qui, si le Venezuela s'affaiblit, serait remise en cause au niveau international. En Amérique latine, Ortega, Petro, Díaz-Canel, Sheinbaum et Boric seraient les plus exposés aux répercussions d'un tel effondrement.

Les analystes soulignent que l'histoire nous offre des exemples de dirigeants qui semblaient inébranlables et qui ont fini par tomber, comme Mouammar Kadhafi en Libye . De ce point de vue, l'affaiblissement d'un seul maillon pourrait accélérer un processus de déclin en série dans la région.

La chute de Maduro est donc présentée comme une variable clé pour comprendre les futurs mouvements politiques en Amérique latine et en Espagne.

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