L'ONU dénonce les attaques de colons israéliens en 2025 : les tensions s'accentuent en Palestine

Attaques de colons israéliens en 2025 : l’ONU dénonce une escalade de violence inquiétante
par , le 21 octobre 2025
Des agriculteurs palestiniens travaillent dans des oliveraies en Cisjordanie sous la surveillance de colons israéliens, selon les rapports de l'ONU sur les attaques de colons israéliens en 2025.
L’ONU a documenté une augmentation alarmante des attaques de colons israéliens en 2025, affectant gravement la récolte des olives et la vie de milliers de familles palestiniennes en Cisjordanie.
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Attaques de colons israéliens : des rapports de l’ONU révèlent des violences en 2025

Attaques de colons israéliens 2025 — La situation en Cisjordanie est devenue alarmante. Les rapports du Bureau des Nations Unies font état d'une augmentation significative des attaques de colons israéliens contre les Palestiniens.

Depuis le début de la récolte des olives en septembre 2025, de nombreux incidents ont été signalés, notamment des attaques contre des agriculteurs et des travailleurs humanitaires internationaux. Le directeur du bureau, Ajith Sunghay 757 attaques avaient eu lieu au cours du premier semestre , soit une augmentation de 13 % par rapport à la période précédente.

Ces événements représentent un risque sérieux pour la population palestinienne et reflètent un problème plus vaste : l’occupation israélienne et le conflit foncier en cours.

L'ampleur des attaques a été dévastatrice. Elles ont affecté à la fois le bien-être des Palestiniens et leurs moyens de subsistance. Pendant la saison de la récolte des olives – source de revenus vitale pour plus de 80 000 familles –, des incendies de plantations et l'abattage d'oliviers, piliers de l'économie locale, ont été signalés.

Sunghay a également dénoncé les nouveaux points de contrôle de l'armée israélienne qui entravent l'accès des agriculteurs à leurs terres et mettent en péril leurs récoltes. L' ONU avertit que ces violations s'inscrivent dans le cadre d'une politique d'occupation systématique qui viole les droits fondamentaux de la population palestinienne.

 

Les autorités palestiniennes ont réagi avec vigueur à cette escalade de la violence. Le ministère palestinien des Affaires étrangères a dénoncé les attaques des colons comme étant « terroristes » et affirmé que ces actions étaient soutenues et coordonnées par l'armée d'occupation israélienne. La déclaration souligne également que ces incidents s'inscrivent dans une stratégie plus vaste visant à exterminer la résistance palestinienne et à entraver les efforts internationaux visant à mettre fin à l'occupation. Dans ce contexte, l'arrestation de 32 militants étrangers qui tentaient de soutenir les agriculteurs pendant la récolte des olives a également été critiquée, ce qui a été décrit comme une tentative de dissimuler les exactions commises.

Alors que la situation se détériore, les conséquences de cette violence ne se font pas seulement sentir sur le terrain, mais résonnent également fortement au sein de la communauté internationale.

L’ONU a appelé de toute urgence les États membres à exercer une pression sur Israël et à garantir la protection des civils et le respect du droit international .

L'avenir de la région est incertain. Les organisations internationales avertissent qu'un engagement réel et durable est nécessaire pour garantir que les responsables des graves violations des droits humains commises dans les territoires occupés rendent des comptes.

Sans action immédiate et concrète, les répercussions de cette crise pourraient s’étendre, alimentant de nouvelles tensions et mettant en péril la stabilité de l’ensemble du Moyen-Orient.

Dans ce contexte, la force des liens diplomatiques et le respect du droit international deviennent plus cruciaux que jamais à ce carrefour historique.

Le 6 janvier 2021, vers midi, des milliers de partisans du président de l'époque, Donald Trump, se sont rassemblés sur le National Mall à Washington, D.C., pour un rassemblement « Sauver l'Amérique », où Trump prévoyait de prononcer un discours sur le résultat de l'élection présidentielle de novembre 2020. À l'approche de l'heure du discours, la foule s'est massée le long du Mall, où plusieurs intervenants, dont des alliés du président, ont encouragé les personnes présentes à protester contre ce qu'ils qualifiaient de fraude électorale.

À 13 h, après la fin du discours de Trump, qui a exhorté ses partisans à marcher vers le Capitole, les manifestants ont commencé à se diriger vers le électoral . Vers 13 h 30, un groupe de manifestants a réussi à franchir les barrières de sécurité et à pénétrer dans le Capitole. La situation a rapidement dégénéré, d'autres personnes se joignant à la foule.

la police du Capitole a tenté de rétablir l'ordre, mais des manifestants, dont beaucoup brandissaient des banderoles et des drapeaux soutenant Trump, ont pénétré dans les bureaux et les salles du siège législatif. Face à cette intrusion, le Capitole a été bouclé et une alerte d'urgence a été lancée. Les législateurs ont été évacués vers des lieux sécurisés tandis que les émeutes se poursuivaient.

Vers 15 heures, des renforts de la Garde nationale et d'autres forces de sécurité ont été déployés pour contenir la situation. Les autorités se sont employées à déloger les manifestants, qui continuaient d'occuper le bâtiment. À 17 heures, le Capitole était enfin sécurisé et les arrestations ont commencé parmi ceux qui restaient à l'intérieur.

Après plusieurs jours d'analyse, le FBI et d'autres agences fédérales ont ouvert une enquête sur les événements du 6 janvier. À la suite de cette enquête, de nombreuses arrestations ont été effectuées et des poursuites ont été engagées contre les personnes impliquées dans la violation. De plus, leurs investigations ont révélé la nécessité de renforcer la sécurité au Capitole afin d'éviter que des incidents similaires ne se reproduisent.

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