Explosif : la réponse publique d'Amparo López Beltrán et Andy

par 17 septembre 2025

Amparo López Beltrán : la réponse publique du secrétaire de l'Organisation

Tribunal initial et résumé : Amparo López Beltrán : Andrés « Andy » López Beltrán a nié avoir déposé un recours en amparo après la publication d'une suspension judiciaire qui, selon les documents, le concerne, lui et son frère, dans le dossier 2098/2025-IV. Le communiqué officiel réclame une enquête sur l'origine de la procédure et exige que soit clarifiée une éventuelle manipulation de documents.

La nouvelle est tombée hier lorsque plusieurs sites web et réseaux sociaux ont rapporté l'existence d'une suspension censée protéger Andrés « Andy » et Gonzalo « Bobby » López Beltrán d'éventuels mandats d'arrêt. Le dossier figure sous le numéro 2098/2025-IV dans les archives judiciaires citées dans l'article initial ; cet enregistrement a été à l'origine de la vague d'informations et de la controverse qui a suivi.

En réponse à ces informations, Andy a publié une déclaration niant catégoriquement que lui ou son frère aient déposé une injonction en son nom. La déclaration, adressée principalement aux membres et sympathisants de Morena, qualifie ces informations de mensonges et attribue leur diffusion à la « mafia du pouvoir économique » et à des secteurs cherchant à les discréditer.

Le document officiel réfute la version publique en cinq points : il affirme que les enfants n'ont rien fait, qu'ils ignorent qui a déposé l'appel et qu'ils soupçonnent une machination visant à les lier à des acteurs et des événements sans rapport. Il exige également que les autorités enquêtent sur la chaîne de documents ayant conduit à l'inscription de l'affaire au dossier judiciaire.

Amparo López Beltrán
Andy López Beltrán a nié avoir déposé l'appel et a demandé une enquête sur l'origine du dossier.

Selon des sources judiciaires citées par la presse, l'ordonnance de suspension a été admise à l'instruction et semble conforme aux formalités habituelles ; cependant, certains médias ont décelé des irrégularités dans le dossier, soulevant des doutes quant à sa légitimité. Ces lacunes procédurales expliquent en partie l' inquiétude politique et médiatique suscitée par cette affaire .

La suspension publiée ne constitue ni un non-lieu ni une déclaration d'innocence : il s'agit d'une mesure conservatoire qui empêche, pendant l'examen du fond, toute privation de liberté à l'encontre des personnes concernées . Juridiquement, il s'agit d'une mesure de protection temporaire, et non d'un acquittement.
Au niveau du parti, Morena a réagi en demandant transparence et collaboration au pouvoir judiciaire afin de clarifier comment l'injonction a été incluse dans le dossier 2098/2025-IV et qui l'a initiée. La direction a demandé une vérification de la chaîne de traitement et de déterminer s'il y a eu usurpation d'identité ou falsification de documents.

Sur le plan politique, l'épisode a alimenté le conflit entre adversaires : les factions adverses ont utilisé la nouvelle pour interroger les dirigeants des partis, tandis que leurs sympathisants ont dénoncé une campagne de diffamation. Les échanges sur les réseaux sociaux ont contribué à polariser davantage le débat, les versions et contre-versions se multipliant avant que la version officielle ne clarifie l'incident.

Pour les experts en communication politique, cette séquence est une leçon évidente : la rapidité des fuites d’informations permet d’anticiper et d’influencer les réponses judiciaires et politiques , et dans ce domaine, les réputations sont en jeu en quelques heures. C’est pourquoi la déclaration d’Andy visait à rétablir l’ordre et à exiger que l’ enquête sur cette affaire soit publique et transparente.

Pour la suite de la procédure, trois points clés restent à résoudre : la justice doit clarifier l'origine de l'injonction, déterminer si son dépôt a été entaché d'irrégularités formelles et, le cas échéant, déterminer les responsabilités en cas de falsification du dossier. Parallèlement, la réponse publique d'Andy indique clairement que la famille López Beltrán rejette tout lien avec le traitement de l'appel et exige une enquête sur le complot ayant conduit à cette information.

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